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Mathieu Parenteau Vallée (réalisateur)

Né en 1990, Mathieu a su très jeune qu'il était voué à un avenir artistique. Dès 16 ans, il commença à explorer le monde des arts, en s'introduisant d’abord dans le monde des coulisses. Il toucha d'abord à la caméra, par l’intermédiaire des studios Vox puis comme monteur de scène pour les événements et les spectacles extérieurs, tel que le groupe bien-aimé du Québec : Kaïn.

Étant aussi un grand sportif, il apprécie grandement les sports de course et de saut. Peut-être connaissez-vous d'ailleurs le parkour? Un sport qui justement allie, la rapidité, la fluidité des gestes, des sauts et les techniques d’atterrissage au sol, sans blessure bien sûr. Malheureusement, bien des gens confondent souvent le parkour avec l'image de jeunes qui grimpent illégalement sur les toits. Pour faire démentir les racontars au sujet de ce sport et entrainer les plus jeunes à l'extérieur de leur maison; décollant leur nez du même coup de leur X-Box, il créa vers les alentours de 2010 le projet sportif « Urbanise-toi ». Des jeunes de la Montérégie et même de Montréal vinrent à sa rencontre pour apprendre les rudiments et les techniques du parkour.

Dans les mêmes temps, il fit son entrée en avant de la caméra avec la figuration, comme dans l'émission 30 vies par exemple, puis dans les films américains, tels que X-Men et Zombie malgré lui. Ensuite, il eut des rôles et fut même contacté comme cascadeur.

En découvrant le monde du maquillage de film, en fréquentant les plateaux de tournage, il eut cette idée d'apprendre les secrets du maquillage d'effets spéciaux. Depuis bientôt trois ans, les gens le contactent pour avoir droit à un maquillage effrayant et réel. Évidemment, ses connaissances en maquillage FX (effets spéciaux, blessures, etc.) fut fortes utiles durant la création de leur film de Zombie. D'ailleurs, un jour en société, premier court-métrage réalisé, est déjà nominé dans les festivals.

Aujourd'hui, il pratique la photo passionnément. Il participe même comme photographe média pour les meilleurs événements culturels. Bien sûr, il reçoit volontiers de nouveaux clients pour immortaliser leur image. Puis, il s'occupe personnellement de vos montages vidéos.

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Stéphane Benoit (photographe réalisateur)

Je m’appelle Stéphane Benoit et je suis photographe professionnel depuis 2018. Bien que la photographie fasse partie de ma vie depuis plus longtemps, je me suis lancé en affaire très récemment.

Mes débuts en photographie se situent vers la fin des années 1998, lorsque mon père achetait un appareil reflex, un superbe Canon T70. Monté de son objectif 50mm et d’un objectif 75-200mm, je partais en exploration dans la jungle de la photographie. Ce merveilleux argentique aux milliers de fonctions super complexes m’ouvrit les portes de l’art de la composition et de la détermination pour les plus beaux clichés. Combien de pellicules que j’ai dû utiliser avant d’être vraiment à la hauteur, avant de connaître le fonctionnement de cette petite merveille. Moi, je n’avais pas besoin de calculer le nombre de photos manquées avec mes essais. Mais mon père, lui, calculait l’argent qu'il jetait par la fenêtre avec l’achat des nombreuses pellicules. J’ai dû lui faire développer des centaines de films avec 5 ou 6 excellentes photos dans le lot de 36.

Grâce à cette expérience, j’ai pu assimiler le travail de la composition, de la vitesse d’obturation, la sensibilité et les divers caprices d’un appareil reflex. Connaître les dessous de la photo et utiliser les ombres pour donner un style plus dramatique à mes clichés. Comme les journées ou je me rendais en ville pour prendre les passants à leur insu, le « Street portrait » d’aujourd’hui. Je savais que mes photos allaient être très bonnes. L’éclairage parfait, les ombres aux bonnes places, la satisfaction de voir mes imprimés. Que de bons souvenirs je conserve de cette époque. Malheureusement, mon plaisir a pris fin lorsque j’ai brisé le Canon de mon père. L’été 2002 va rester gravé dans ma mémoire, mais surtout l’image de l’appareil photo tombé par terre. La fissure sur le boîtier et la petite porte pour la batterie au sol. Mais aussi, le regard de mon père quand je lui rapportais son appareil.

En 2004, à la naissance de ma fille. J’achetais un petit 35mm de Olympus pour faire des photos de ma nouvelle merveille. C’était maintenant l’air du numérique, alors au diable les dépenses, je cliquais sans trop me soucier du résultat. Pas à mon goût? On efface et on recommence. Équipé de mon « 5 mégapixels », je prenais des photos sans relâche. Il était tellement petit que je le transportais dans ma poche de jeans. Il me suivait au restaurant, dans les bars, au parc, chez des amis, il était mon meilleur ami. Au fil du temps, je l’abandonnais pour mes autres occupations et surtout pour le travail.

La piqûre de la photographie m’a repris en août 2018, quand un ami et moi, décidons d’aller à Wildwood au New Jersey pour une semaine. Une semaine avant le départ, une promotion alléchante pour un Canon Reflex T5 accroche ma corde sensible. J’achète l’appareil sans même hésiter et sur le même élan, on quitte pour les vacances. Après une semaine d’utilisation, il indiquait déjà au compteur 1000 photos. Au bout de quelque temps, je le trouvais dépassé. Quand je l’ai vendu, il affichait au compteur 6000 photos, et ce en 6 mois.

Aujourd’hui équipé d’un Canon 80D et de lentilles série L, un 100mm macro et un 17-40mm. Je fais beaucoup d’évènements culturels. J’immortalise également les oeuvres d’artistes peintre. Je souhaite développer certains styles particuliers comme le boudoir, la mode, les « headshot », le commercial, etc.

Je souhaite fixer les souvenirs et les moments inédits de la vie. Conserver ces images pour toujours afin de prêter main forte à la mémoire collective.

©La Chute De L'intimidation

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